Année : 2016

Début des ateliers artistiques avec Efi Farmaki

La rentrée, c'est le 7 septembre avec une nouvelle promotion de chorégraphes. Rencontre avec la première : Efi Farmaki.

Quel est ton univers chorégraphique ?

J’ai eu une formation classique de danse contemporaine et de théâtre en Grèce, ce qui suppose notamment qu’il y avait une place donnée au théâtre antique. J’y ai forgé mon intérêt pour le cérémonial, le rituel, la fusion du groupe, dans une expression associant texte, chant et danse, comme on le trouve dans le « chœur antique ». J’ai également participé à de nombreux projets de théâtre et de danse contemporaine. Avec le temps, j’ai eu envie de découvrir d’autres formes d’expression performative, qui sorte des cadres habituels que je connaissais. C’est pourquoi la rencontre avec les formes de danse de l’Asie ont été pour moi une très grande ouverture. A commencer par le Butô, qui cherche « la danse avant la danse ». On y travaille d’abord l’imaginaire, en prenant un élément de sens qui va ensuite devenir mouvement, et on est très centré sur la perception des états du corps. Des expressions plus traditionnelles comme la danse balinaise ou la danse shamanique coréenne m’ont également apportée des approches très spécifiques de la prise de sol, de la maîtrise de la posture, de la tenue des mains, des doigts, jusqu’au visage et en particulier le regard.

efi farmaki
Photo : Fabrice Pairault

Peux-tu nous parler de ta création en cours ?

J’ai déjà réalisé plusieurs solos sur différents thèmes, mais pour cette première création de groupe j’ai voulu partir de mes centres d’intérêts fondamentaux : ma fascination pour le rituel, qui est la base de ce qui fait civilisation et la source de l’expression artistique du spectacle vivant. En partant de la figure du « chœur antique », et en l’ouvrant à toutes les formes de rituel que j’ai retrouvées dans les différentes cultures chorégraphiques que j’ai étudié, je voudrais faire un spectacle qui parle des sources de notre condition humaine : un animal social et culturel.

As-tu des dates prochainement ?

Je suis dans le début du travail de la création, je n’ai pas encore de dates. Mais j’espère avoir une première forme présentable dès la fin de cette année, et être prête pour des diffusions au printemps 2017.

Quel atelier vas-tu mener avec les danseurs de Danse en Seine à partir du 7 septembre ?

Je suis en plein dans la préparation du programme ! Mais je sais déjà que je vais proposer à chaque séance un travail sur un thème précis, issu de chacun des territoires que je voudrais mêler dans la création finale. Nous pourrons ainsi voir par exemple l’évolution du groupe à l’unisson, la marche coréenne, la lenteur du Butô, les percussions corporelles indonésiennes, l’expression faciale et des mains balinaise. Il y aura des séquences courtes chorégraphiées, mais aussi des exercices d’improvisation. Et dans la dernière séance, nous associerons ce qui aura été travaillé, dans une composition où chacun pourra tenir la partie dans laquelle il aura été le plus à l’aise.

Informations pratiques :
- Atelier le mercredi soir, de 20h30 à 22h, au Carreau du Temple
!! horaires exceptionels le mercredi 7 septembre, 19h-20h30, au Carreau du Temple!!
- Inscriptions : ateliers@danseenseine.org
- Conditions d'inscriptions ici.
- Dates du cycle : 7/9, 14/9, 21/9, 28/9, 5/10 (restitution publique)


Découvrez "Les couleurs des sentiments"

Toute l'équipe de Danse en Seine est ravie de vous présenter "Les couleurs des sentiments", un spectacle dont les bénéfices seront reversés à Danse en Seine !

Anouk Audet (du Conservatoire de Barcelone) présentera le 16 octobre prochain son premier spectacle au Théâtre du Temps, avec le soutien du Concours Chorégraphique de Montrouge. Accompagnée de 3 danseuses et de 3 chanteurs, elle a conçu une création de 45 minutes autour du thème « Les couleurs des sentiments ». Un voyage coloré entre la joie, la colère ou encore la mélancolie sur des mélodies connues de tous.

couleurs des sentiments

Si vous aimez la danse modern'jazz, les rythmes pop/rock et les spectacles à l’esprit familial, n’attendez plus et réservez votre après-midi.

Informations pratiques :
- Théâtre de Temps, 9 rue du Morvan, Paris 11 (M° ligne 9 : Voltaire, ligne 3 : Rue Saint Maur et lignes 2/3 : Père Lachaise à proximité).
- Entrée 5€.
- Les bénéfices sont reversés à l’association Danse en Seine.
- Event Facebook


Stage Cinéma Danse du 11 au 16 juillet !

Aujourd'hui un bon plan danse avant vos vacances d'été!

stage cinema danseRecto Web

 

Nawel Oulad vous propose un stage de création chorégraphique pour réaliser une videoadanse ! Du 11 au 16 juillet, soit un stage d'une semaine entière ... miam!

Le stage est à 75 euros mais cette compagnie vous propose une remise de 10 euros aux adhérents de danse en seine.
Les détails du planning:
Stage cinemadanseVerso Web
Le contact: nawel.oulad@gmail.com / 06.20.48.99.65
L'occasion de rencontrer une chorégraphe en  pleine création, avis aux amateurs! Nawel Oulad a découvert la compagnie Danse en seine en tant que spectatrice des représentations de Or des Talus ( janvier 2015) et de Danse en Seine 5.0 (juin dernier). Aujourd'hui elle nous propose de venir la rencontrer en studio! Vous qui avez baigné dans la création cinéma avec "Just Kids", réalisé avec l'école des Amandiers, tentez l'expérience de l'autre côté de la camera!
Très bon stage à cette équipe de chanceux!

Retour sur la scène ouverte #6

Pour la sixième édition des scènes ouvertes de la compagnie, c'est plus de 25 danseurs qui se partageaient l'affiche !

A quelques semaines de Danse en Seine 5.0, la soirée anniversaire de l'association, les scènes ouvertes offraient une immersion dans les coulisses de l'événement : au programme, plusieurs extraits des pièces présentées les 9, 10 et 30 juin, mais aussi deux propositions libres de danseurs de la compagnie.

On entre très vite dans l'ambiance avec Re:Rosas, une reprise de Rosas Danst Rosas, la pièce d'Anne Teresa de Keersmaeker, qui avait inspiré en 2014 le trio Work in Progress. Depuis, la pièce a été transmise à toujours plus de danseurs, et la partition enrichie, par les deux chefs de projet, Camille D. et Lucie, dans une écriture très mathématique, interprétée par une distribution pas encore paritaire, mais intégrant de nombreux danseurs masculins, enfin !

IMG_3375

On retrouve ensuite avec plaisir la première pièce de la compagnie, créée par Bérangère Roussel et revisitée par Agnès Vilmer, Toutes, somme Unes, une pièce sur l'individualité et le groupe. Un travail sur l'espace et les directions, avec une toute nouvelle génération de danseurs, dont le plus jeune a à peine 12 ans, donne un nouvel éclairage sur la pièce.

Avec Echappées, ce n'est plus cinq années que nous fêtons, mais presque 14 ! En effet, cette pièce avait été composée en 2002 par Bérangère Roussel, puis transmise à de nombreux danseuses de la compagnie une dizaine d'années plus tard. Andrian a relevé le défi de reprendre ce quatuor avec trois autres acolytes, pour le meilleur effet ! Cette pièce aérienne et féminine change résolument d'allure et de signification lorsqu'elle est interprétée par quatre hommes. Le public a su récompenser cette audacieuse initiative...

Puis soudain, le public est plongé dans le noir... Quelques éclats de lumière, des lampes de poche sans doute, utilisées par les interprètes pour reprendre différemment Agonie, le fameux tableau des perruques rouges de la pièce Agatha (écrite par Bérangère Roussel pour la compagnie). Emilie et Yolaine ont entraîné avec elles cinq autres danseuses dans cette version encore plus noire de ce "polard chorégraphique".

IMG_3406

Après ce florilège de pièces quasiment historiques de la compagnie, place au neuf !

Louis signe sa première création, Abîmes : "Récit dystopique centré sur ses principaux protagonistes : les trois fondateurs de la Fédération du Lacque sont l'émotive et bouillonnante Alsatia, le froid et calculateur Evariste et la raisonnable et sensible Kilsay, rejoints ensuite par les deux comètes que sont la terrible Okhrana et la pétillante Winnipeg". Sur une musique de Zack Helsey, Louis déclame un texte touchant, trame sonore à la danse émouvante de Diane, très belle interprète découverte récemment aux ateliers artistiques.

Le voyage continue avec Bois de Rosas, création issue à la fois du projet Rosas et des interventions des bénévoles au sein de la maison d'arrêt de Bois d'Arcy... On ressort profondément marqué par la présence intense des interpètes de ce trio à l'écriture singulière signé Léonard. La pièce continue son chemin jusqu'aux soirées de Danse en Seine 5.0 : on attend impatiemment la dernière étape !

La soirée se termine dans la légèreté avec Les Volontaires, une création de Camille D. pour 5 danseurs. "Cette pièce créée autour de la thématique de la volonté présente les volontaires. Ce sont ceux qui ont trouvé l'équilibre. L'équilibre entre la volonté et la contrainte, l'interne et l'externe. Ce sont eux qui ont négocié avec eux-mêmes pour que la volonté soit plus forte que la contrainte. Ce sont ceux qui sourient. C'est aussi l'équilibre de la danse. L'équilibre entre ce que l'esprit veut et ce que le corps peut. De cette opposition nait l'imagination, de cette volonté la création." On jouit de la connexion entre les danseurs, de leur plaisir d'être ensemble, dans cet équilibre qu'ils semblent avoir trouvé collectivement...


En juin les ateliers artistique sont avec Yoann Hourcade!

A partir du 8 Juin prochain les ateliers du mercredi soir , au Carreau du Temple, sont entre les mains du Chorégraphe Yoann Hourcade. Il nous en dit plus...

Lire la suite


Danse en Seine reçoit le soutien de la Fondation groupe RATP

Dans le cadre de ses projets artistiques et solidaires, Danse en Seine est accompagnée par des soutiens financiers publics et privés. Nous sommes ravis d'annoncer aujourd'hui que la Fondation groupe RATP soutient le projet Dansons les Amandiers 2016.

LOGO_FONDATION_RATP_RGB

La Fondation d’entreprise groupe RATP promeut le respect et la mobilité pour permettre de mieux vivre ensemble dans la ville. A ce titre, elle soutient des projets associatifs qui favorisent : l’égalité des chances, l’accès à la culture et à l’éducation, le lien et l’entraide. C'est dans ce cadre qu'elle apporte son soutien à Danse en Seine pour Dansons les Amandiers 2016.

Dans la continuité des six années de travail, Dansons les Amandiers 2016 est un projet collaboratif de création artistique et de développement de la vie culturelle dans le quartier Belleville-Amandiers, réalisé en partenariat avec le Carreau du Temple et ses équipes de médiation culturelle. Il s’inspire d’œuvres diffusées lors du festival Paris Quartier d’été et se base sur un travail entre les différentes générations. Il se déroulera en deux temps :

Plus d'informations sur ce nouveau projet très prochainement.

Merci à la Fondation groupe RATP pour ce soutien !


Rencontre avec Axel Loubette avant son cycle d'ateliers

Axel Loubette est un jeune chorégraphe qui animera un des cycle d'ateliers artistique chez Danse en Seine les 1, 4 et 5 juin.

Infos pratique: Inscription à ateliers@danseenseine.orgLire la suite


Nouveau cycle d'ateliers artistiques dont 2 ateliers avec Christine Bastin!

Le prochain cycle d'ateliers artistiques au Carreau du Temple démarre!

Du mercredi 27 avril au mercredi 18 mai, ces ateliers vous feront danser sur le rythme du spectacle Danse en Seine 5.0, qui arrivent les 9, 10 et  30 juin prochain dans les salles parisiennes!
Parmis ces 4 prochains ateliers, le 11 et le 18 mai se dérouleront avec Christine Bastin autour de la chorégraphie Femmes.

Informations pratiques :

– Ateliers artistiques le mercredi de 20h30 à 22h, au Carreau du Temple
– Inscriptions ici.

Christine Bastin vous parle de l'orgine de sa pièce et de son histoire avec ses danseurs...

Image1

Femmes

Ce sont des femmes fortes et archaïques qui apparaissent ici,
présentes à leurs corps, à la vie et saisies par la joie noire du « duende ».
En elles, tout est là, l’âme, le poids et la musique des femmes…

Christine Bastin

Née de la pièce Gueule de loup, créée en 1992 et commande de la biennale de danse de Lyon sur le thème de l’Espagne,  la pièce Femmes, a été créée en 2011 dans le cadre des tutorats du Ministère de la culture, avec une association amateure de Villeneuve sur-Lot.

Femmes a été ensuite développée en mars 2012 pour 8 danseuses du CRR de Lille et de l’école du CCN de Roubaix, au théâtre du Colysée à Roubaix, dans le cadre du Festival « L’air de rien, les jeunes ont du talent », en collaboration avec l’école du CCN de Roubaix et le CRR de Lille. La pièce est reprise avec 12 femmes amateures de l’association Densité au festival d’Albi en juin 2013.

En 2014,  Les danseuses issues des associations Danse en Seine et Accords perdus (et ayant déjà interprété  Gueule de loup dans son intégralité en octobre 2013 à l’auditorium Saint Germain de Paris, suite à une commande de la MPAA Saint Germain) ont dansé Femmes  au Théâtre du 20ème et à la salle Pajol à Paris. Puis la pièce a été transmise aux étudiants en formation des RIDC de Paris en mai et juin 2014. Enfin, à l’occasion du festival Entrez dans la danse  de Paris Bercy, en juin 2014, Femmes a été dansée par les danseuses des RIDC et les danseuses des compagnies Danse en Seine et Accords perdus.

     Un projet 2016 ?

Réunir toutes les femmes qui ont appris la pièce depuis 2011, pour les 30 ans de la compagnie. C’est cette année, donc il ne faut pas tarder à l’organiser !

En attendant, c’est  Danse en Seine qui va interpréter Femmes, pour fêter les 5 ans de création de sa compagnie !

     Je commence à avoir une belle et longue histoire avec Danse en Seine :

La transmission de 30mn de Gueule de loup, sur une commande de la MPAA en octobre 2013. La transmission de Femmes qui sera dansée tout au long de l’année 2014 à Paris : Théâtre du 20ème, Salle Pajol, Jardins de Bercy… La transmission d’un nouvel extrait de Gueule de loup, dans le cadre de Danse en amateur et Répertoire du CND, dansé en mai 2015 à la Grande Halle de la Villette , puis au Carreau du Temple à Paris.

Des premiers ateliers de transmission de Femmes, à de nouveaux danseurs de Danse en Seine, fin 2015 et début 2016, à poursuivre jusqu’à la fête anniversaire !

Et des projets pour 2016-2017 ! La transmission d’un extrait de l’Entrouvert (créé en 2008 pour le Junior Ballet du CNSMDP), pour les danseurs les plus avancés de Danse en Seine. Une création parents-enfants ?  mais c’est un peu trop tôt pour en parler !

     Alors, est-ce que j’aime travailler avec les amateurs ?

On dirait que oui !

D’abord pour l’enthousiasme et la passion qu’ils renvoient. Le courage aussi, car ils s’attaquent à du travail de danse professionnel en plein milieu d’une vie qu’ils ont dédié à tout autre chose. Avec tous ceux que j’ai croisé,  on n’est jamais dans l’idée de faire des concessions, et l’exigence reste première. On aborde le travail comme des professionnels. Des deux côtés.
La première fois que j’ai vécue cette expérience de voir mon travail dansé par des amateurs, j’ai été stupéfaite de découvrir que, quand ils laissent transparaitre leur sensibilité et leur intelligence du mouvement, le sens de la chorégraphie émerge très vite. Danser une pièce n’est pas d’abord une histoire de technique, même si elle rend bien des services. Mais justement, elle est au service…. Avec des tas d’autres paramètres dont le goût du sensible et l’acceptation de laisser transparaitre sa vibration intérieure. J’ai éprouvé ça aussi en voyant des pièces d’autres chorégraphes dansées par des amateurs. La signature était très claire …. Et une sorte d’âme qui se dégage, malgré les imperfections, malgré les maladresses ….

C’est un beau cadeau que l’on reçoit.

Christine Bastin

Informations pratiques :

– Ateliers artistiques le mercredi de 20h30 à 22h, au Carreau du Temple
– Inscriptions ici.
Pour vous inscrire uniquement aux ateliers avec Christine Bastin envoyer un mail à ateliers@danseenseine.org


Danse en Seine 5.0 : rencontre avec Yolaine et Emilie

Danse en Seine 5.0 est en pleine préparation ! Nous allons vous faire rencontrer chacun des chefs de projet. Aujourd'hui, Yolaine et Emilie. 


 

1. Sur quel tableau travaillez-vous pour le spectacle de Danse en Seine 5.0 ?

Nous travaillons sur la reprise d’une pièce de Bérangère Roussel, Agonie, dont les danseuses, attaquées, malmenées, forment une seule et même victime qui agonise.

Agonie

2. Quelles ont été vos sources d’inspiration pour le tableau que vous préparez ?

L’idée de départ pour la reprise d’Agonie était d’y ajouter un jeu de lumières. Nous nous sommes tournées vers des éclairages individuels, ce qui nous permet d’accentuer son aspect saccadé, comme un arrêt sur image, et de mettre en lumière des parties isolées du corps des danseuses. Les mouvements d’Agonie représentant des positions de défense, de repli ou de souffrance, cet éclairage, qui réduit la visibilité du spectateur en plongeant partiellement les corps dans l’obscurité, renforce l’aspect inconfortable et hostile de la pièce.

Nous avons souhaité rester fidèles à la chorégraphie d’origine, tout en y ajoutant l’utilisation des lumières individuelles, ce qui nous a naturellement poussées à adapter les partitions et à décomposer les phrases chorégraphiques, de part les nouvelles possibilités visuelles et les contraintes de mouvements.

3. Qui sont les danseurs avec lesquels vous travaillez ?

Nous sommes 8 danseuses en tout, nous travaillons donc avec 6 autres danseuses: Agnès, Anne, Lucie, Mathilde, Mélusine et Pauline.

4. A quel(s) autres projet(s) avez-vous eu l’occasion de participer depuis votre arrivée et quel est votre rôle au sein de Danse en Seine ?

Yolaine : J’ai pu participer à deux projets solidaires l’année dernière, en intervenant en maison d’arrêt et à l’école des Amandiers. Ces expériences sont très enrichissantes et je me suis réengagée pour le projet de cette année avec les enfants autour du projet Dansons les Amandiers. Je fais également partie de plusieurs projets de création en cours dont « Bois de Rosas », créé suite à notre expérience d’ateliers en maison d’arrêt, un projet sur le thème du vent avec Bérangère Roussel et un projet vidéo avec Jacques Simon et Sandra Français. Je suis par ailleurs chargée de communiquer sur les évènements de Danse en Seine et (mais également) plus généralement sur l’actualité culturelle/danse sur la page Facebook de Danse en Seine.

Emilie : Je participe également au projet Dansons les Amandiers qui rassemble des élèves de l’école primaire du 20ème et les bénévoles de Danse en Seine autour d’un tournage qui a lieu au sein de l’école même. C’est très inspirant et instructif à la fois, sans compter que c’est un vrai plaisir de partager des moments avec ces enfants.

 

Les projets de Danse en Seine 5.0 déjà dévoilés:

- Le projet Rosas de  Lucie et Camille!

- Reservations à billetterie@danseenseine.org, pour le spectacle Danse en Seine 5.0 le 30 Juin à l’auditorium du Carreau du Temple