Année : 2017

Charles Antoine, bénévole du mois

1. Quel est ton rôle dans l’association ?

Je suis « responsable résidences ». Je dois chercher des nouveaux lieux de résidence pour la compagnie, rédiger et faire un suivi des conventions nécessaires et de ce fait, coordonner la logistique de ces résidences. Membre de l’équipe artistique, je serai souvent en correspondance avec notre directrice artistique Emmanuelle Simon.

2. Que fais-tu dans la ”vraie vie” ?

Ayant été étudiant en master STAPS  « Management du sport » à Poitiers, je poursuis mon souhait de reconversion de mes études dans le management de projets culturels et artistiques. J’intègre, pour l’année 2017-2018, l’Université Sorbonne Nouvelle à Paris 3, en licence 2 « Médiation culturelle », spécialité Théâtre.

3. Depuis quand es-tu dans l’asso ?

Je suis arrivé à Paris en Octobre 2016 pour un service civique. Dansant déjà à Poitiers, je désirais continuer et j’ai découvert la compagnie Danse en Seine (je ne me souviens plus comment mais sans doute par des recherches internet).
Belle découverte, belles et intéressantes personnes rencontrées et à rencontrer, projets à foisons dans lesquels s’investir, vivre, apprécier.

4. Peux-tu résumer l’association en 3 mots ?

Partages, Entraides et Projets


La rentrée des ateliers artistiques c'est avec Tristan Pradelle !

La rentrée des ateliers artistiques, c’est le mercredi 6 septembre ! Rencontre avec le premier chorégraphe de la nouvelle promotion: Tristan Pradelle.

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Venez découvrir l'univers du tango avec Rémi Esterle

Arts du cirque, hip hop puis tango, Rémi danse de plusieurs manières... A partir du 17 mai, il vient animer les ateliers artistiques au Carreau du Temple.

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Jean, bénévole du mois

1. Quel est ton rôle dans l'association ?2016_02_Lightpainting_3

Je suis photographe amateur et aide l’association en couvrant différents événements (spectacles de danse, scènes ouvertes…). L’idée pour moi est de pouvoir aider l’association à promouvoir ses activités sur internet, sur les réseaux sociaux, etc. grâce à des jolies photos ; mais également, d’offrir aux danseuses et aux danseurs de l’association de beaux souvenirs de leurs prestations artistiques.

2. Que fais-tu dans la vraie vie ?

Dans la « vraie vie », je suis ingénieur de formation et travaille au ministère en charge des transports. Je suis actuellement en poste dans un service en charge d’améliorer la connaissance des déplacements en Ile-de-France. Mon travail consiste, entre autre, à participer à l’organisation d’une enquête auprès des ménages franciliens, à recueillir des données et à les exploiter grâce à l’utilisation de logiciels d’analyse statistique.

3. Depuis quand es-tu dans l'asso ?

Par une amie qui participait à Danse en Seine 5.0 en 2016. L’association était à la recherche d’un photographe pour l’une de ses représentations début juin. J’ai répondu présent et, ayant été séduit par le spectacle Danse en Seine 5.0, je suis finalement revenu faire des photos une deuxième fois le lendemain, puis une troisième et enfin une quatrième fois !
Ce que je trouve particulièrement intéressant, et ce qui me motive le plus aujourd’hui dans l’association, est de pouvoir confronter deux univers - la photo et la danse – a priori distincts mais qui se mêlent en réalité voire se répondent sur de très nombreux aspects : véhiculer des émotions, l’expression corporelle, le mouvement statique ou dynamique, la netteté et le flou, les jeux de lumière…
Cerise sur le gâteau : il y a une formidable équipe et ambiance dans l’association Danse en Seine:)

4. Peux-tu résumer l'association en 3 mots ?

Création, dynamisme et photo (oui Danse en Seine est très photogénique !).


Mercredi prochain, ateliers avec Joana Schweizer

La semaine prochaine, plongez dans le monde musical et poétique de Joana Schweizer.

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Un événement spécial pour Just Kids le 20 mai prochain !

Vous faites quoi le 20 mai prochain ? Danse en Seine prévoit la projection de son dernier court métrage Just Kids dont les acteurs sont des enfants du quartier des Amandiers dans le 20e arrondissement de Paris. Et pour cela, l’association rassemble les habitants du quartier autour d’un évènement gratuit et participatif organisé à l’espace culturel du Pavillon Carré de Baudouin, justement dans le 20e arrondissement, à quelques pas de l’école élémentaire des Amandiers.

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Tous les bénévoles mais aussi les parents, les enfants, les partenaires de l’association sont conviés à fêter la réalisation d’un film chorégraphique qui a permis à l’association et aux élèves de partager un moment de danse et de création pour le bonheur des spectateurs. En effet, le clip a déjà suscité l’enthousiasme de nombreux spectateurs lors de festivals cinématographiques et nous sommes heureux de pouvoir le projeter lors d’un évènement à cet effet.

Venez donc voir ou revoir Just Kids, en compagnie du réalisateur, Jacques Simon. Seront présents également les interprètes et l'équipe du film, pour une rencontre et série de mini-conférences qui se dérouleront au cours de l’après-midi.

Au programme également des activités participatives pour les petits et les grands sont prévues en plein air, parmi lesquels un atelier de pochoirs street art et un mini bal dansé, reprendront le thème du film sur l’enfance et le passage à l’âge adulte.

Nous espérons vous compter nombreux pour continuer de célébrer la danse comme véhicule de lien social et d’intégration à la vie de quartier.

Le film a été réalisé dans le cadre du projet Dansons Les Amandiers qui facilite à l'accès à la culture de jeunes issus de milieux défavorisés depuis 6 ans.

Nous remercions les partenaires institutionnels de Just Kids : la mairie du 20e arrondissement de Paris, la Direction des Affaires Culturelles de la Ville de Paris (Appel à projets Politique de la Ville), les fondations SFR et Groupe RATP, l’agence Imagista et le collectif Jdid.[EC1]

Informations pratiques :
Samedi 20 mai 2017, 14h-17h30
Pavillon Carré de Baudouin, 121 Rue de Ménilmontant, 75020 Paris
Entrée libre. Contact : danseenseine@gmail.com


Un week-end danse avec Marion Parrinello

Le printemps commence bien avec un week-end danse orchestré par Marion Parrinello. Rendez-vous les 1er et 2 avril !

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Leelou Seugnet, nouvelle chorégraphe des ateliers

Mercredi, Leelou Seugnet succède à Jessica Bonamy pour les ateliers au Carreau du Temple !

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Chloé, notre bénévole du mois

1. Quel est ton rôle dans l'association ?32453_1424930497855_7242547_n

Je suis en charge de la relation avec les programmateurs en vue de la promotion des spectacles de la compagnie Danse en Seine. Ma mission est de correspondre avec les programmateurs et de leur adresser des invitations, "save the date", "teaser" et autres éléments d'information sur la création en cours afin de les compter parmi les spectateurs le jour de la représentation. Pour cela, je travaille en coordination avec le chorégraphe concernant le choix des textes présentant la pièce, avec la graphiste bénévole Maelle Gosnet pour l'identité visuelle, et enfin Laure, Emmanuelle et Orianne pour le rendu ! L'objectif de cette mission étant de donner envie aux programmateurs de découvrir la création de la compagnie, il est largement atteint pour celui qui la réalise ;) !

2. Que fais-tu dans la vraie vie ?

Je suis avocate, tout récemment inscrite au barreau de Paris ! Je suis spécialisée en droit commercial, droit de l'immobilier/construction et droit de la propriété intellectuelle, pour le coté artistique bien sûr ;) (j'ai écrit notamment un mémoire sur le droit d'auteur et l'oeuvre chorégraphique).

3. Depuis quand es-tu dans l'asso ?

J'ai découvert les cours de danse contemporaine du mercredi au Carreau du Temple de l'association Danse en Seine plus de depuis deux ans et je ne suis plus partie !

4. Peux-tu résumer l'association en 3 mots ?

Créativité. Simplicité. Energie !


Nouveau cycle avec Jessica Bonamy !

A partir du 8 février, Jessica Bonamy prend en main les ateliers artistiques : restitution le 1er mars !

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Quel est ton univers chorégraphique ?

Mon univers chorégraphique est tissé en palimpseste, entre la danse et le théâtre, entre les mots et le geste. Il est fait de fantômes musicaux, de langues fantômes, de voix fantômes. Certains de ces fantômes sont joyeux et pétillants, enfantins, et d’autres profondément tourmentés. Mon mouvement oscille entre d’un côté des mouvements amples et fluides à la conquête de l’espace, emmêlés en torsions et en spirales ; de l’autre des mouvements d’orfèvre, compacts et expressionistes, entre contraction et détente. C’est l’humain et sa part d’invisible qui m’intéresse ; ma matière est le corps, un corps parlant, un corps qui parle. Pour plagier Kerry James quand il dit, « jn’étais pas rappeur, mais un révolté qui fait du rap », je pourrais dire : « J’n’étais pas chorégraphe mais fille d’immigrés qui avec la danse raconte et paraphe ».

Peux-tu nous parler de ta création en cours ?

Les Sans-voix, c’est un triptyque qui aborde avec douceur, angoisse, et dérision la question de l’exil, en déployant une poésie du silence. La pièce est née du désir de palper le silence. Le silence que je souhaite toucher du doigt est celui des langues que l’on ne parle plus, celui des cultures qui ne nous appartiennent plus et dont on ne comprend plus la mélodie. Des langues et des cultures qui sont devenues récessives, mais que nos corps pourtant continuent de porter, de transporter.
Pour la pièce, j’ai l’image de petits personnages sans voix – qui perdent leur voix ou dont la voix apparaît étouffée, ou dont la langue, étrangère, est incompréhensible – qui se bataillent avec leur intériorité. Et qui sont d’autant plus proches de nous que l’on entend leur silence. Des personnages qui tentent de communiquer en y échouant toujours, mais qui créent un pont sous le son, derrière les mots, avec leur corps, avec leur « gestes-paroles ». J’ai toujours été frappée par le fait que le silence est si manifeste – le véritable silence n’existant pas comme l’incarne le 4’33’’ de John Cage – et j’ai toujours été émue par le lien entre silence et souffle. Aussi, ce désir de palper l’impalpable, je prévois de le poursuivre en composant avec le souffle, en mettant en scène ce moment où le son se tait, se coupe, faisant alors apparaître le souffle et son ossature.
La danse y sera brandie comme une parole silencieuse ; mise en scène ; en perspective. Recouvrant les mots et le son, pour faire entendre autre chose. Attraper le silence avec le souffle du corps, c’est aborder l’exil, mais de biais. En s’attachant à ce qui a dû se taire à l’intérieur de l’exilé. Compression de mille sons, le silence est une véritable vibration, une fréquence fondamentale du monde.
Je travaille avec deux superbes interprètes Alanne Fernandez et Amalia Alba ; toutes trois avec nos physiques et nos approches de la vie très différentes formons une architecture vraiment intéressante pour incarner les « Sans-voix ».

Quels ateliers vas-tu mener avec les danseurs de Danse en Seine ?

Je souhaite proposer des ateliers autour de ma pièce, et leur transmettre ce corps parlant, entre le geste et la parole qui fait partie de ma recherche chorégraphique. Je leur amènerai des phrases chorégraphiques issues de ma gestuelle et de celle de la pièce, et ce sera une base pour faire de la mise en espace, de la mise en relation, entre objets et danseurs ; entre danseurs. En partant de cette partition commune, on pourra rapetisser ou agrandir le mouvement, le ralentir ou l’accélérer, le décaler dans le temps et dans l’espace , pour créer du lien, et du sens.
Je mettrai l’accent sur l’intention dans le mouvement, et les danseurs pourront creuser cette thématique de fond : comment habiter son geste, le nourrir à travers les phrases chorégraphiques proposées.

Yann Gouhier
Yann Gouhier

Informations pratiques : 
– Dates : 8 février (Carreau du Temple), 15 février (école des Amandiers, de 19h à 22h), 22 février (Carreau du Temple). Restitution publique le 1er mars (Carreau du Temple).
– Inscriptions ici
– Informations : ateliers@danseenseine.org